Avec Diogénisation, Léonie Therrien-Tremblay propose une série de «peintures chiennes» où les personnages, animaux et humains, sont saisis dans d’étranges situations. Les références volontaires à l’histoire de l’art informent ici une pratique artistique construite autour de l’autobiographie, du sampling pictural et d’une symbolique qui emprunte aussi bien au religieux et qu’au philosophique.
Après des études de 1er cycle en arts visuels à l’Université Concordia, l’artiste de Matane a présentée son travail lors de plusieurs expositions individuelles ou collectives.